Brosser son chat régulièrement est important en période hivernale


Quelle que soit leur race, tous les matous sont d’un naturel très propre. Nettoyer leur pelage est d’ailleurs l’une de leurs activités favorites. Pour un résultat impeccable et un meilleur entretien des poils, il est aussi possible de brosser son chat de manière régulière. Le brossage est d’autant plus encouragé en période hivernale. Goodbro fait le point.

Brosser son chat c’est important

Qui dit hiver, dit évidemment chute de température et donc… mise en route des indispensables radiateurs. La chaleur émise est certes agréable, mais pas toujours bénéfique pour nos chats. Lorsque la période de grand froid arrive, le chat mue et revêt un pelage plus épais et donc plus adapté aux contraintes hivernales. Mais seulement voilà, la chaleur des radiateurs contribue à la perte de ses poils. Sachant que votre matou passe le plus clair de son temps à se nettoyer, il apparaît évident qu’un grand nombre de poils sera systématiquement avalé.

D’où l’importance de brosser régulièrement son chat. Ce faisant, vous réduisez considérablement la quantité de poils ingurgités et le protégez d’un éventuel trouble digestif. En effet, si les boules accumulées dans l’estomac sont normalement régurgitées au bout d’un certain temps, il arrive qu’elles se déplacent plutôt vers l’estomac et créent d’importants inconforts. Au besoin, donnez à votre chat un complément alimentaire qui va aider à l’élimination des boules de poils.

Le brossage du chat protège également vos canapés, moquettes et tapis, de la formation de boule de poils peu esthétiques et inconfortables.

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Technique de brossage et accessoires indispensables

Il existe plusieurs types de brosses pour chats, mais deux principales sont à privilégier : les brosses métalliques ou cardes, et les brosses faites en poils de sanglier. Très faciles à manier, les brosses métalliques sont équipées de dents très espacées et sont idéales pour le démêlage. Dotées de poils plus denses, les brosses en poils de sanglier sont conçues pour lustrer et faire gonfler les poils de votre animal.

Pour que le brossage lui soit agréable, il est recommandé de suivre le sens du poil et d’insister légèrement sur les zones où le pelage est plus fourni comme au niveau de l’encolure par exemple. Les séances doivent être courtes dans un premier temps et plus longues au fur et à mesure. Pour que votre chat associe le brossage à un moment de plaisir, pensez à lui donner quelques friandises après lui avoir brossé les poils.

Bien s’occuper de son chat quelle que soit la saison est important, n’hésitez pas à consulter nos autres articles de la rubrique Conseils vétérinaires chat.

Bien choisir la niche pour le bien-être de votre chien


La niche devant faire office d’abri et de lieu de repos pour votre chien, il est important de bien la choisir. Pour qu’il puisse s’y sentir à son aise, quel que soit le temps qu’il fait, une niche douillette est de mise. Comment la choisir et que faire pour que votre chien ait envie d’y rester ?

Niche douillette : une caractéristique à valoriser dès l’achat

Plus qu’une « maison », pour votre animal de compagnie la niche sert d’abri contre le froid et contre les intempéries. Pour qu’il s’y sente à l’aise et qu’il ait envie d’y loger, il faut donc tout faire pour lui offrir une niche douillette. Le critère confort doit donc être pris en compte dès l’achat.

Quant aux matériaux de fabrication par exemple, le bois et le plastique sont à privilégier. En plus d’être d’excellents isolants, ces matériaux s’intègrent très bien dans le jardin de manière générale.

La niche du chien : une question de taille

En ce qui concerne la taille de la niche, le choix est variable. Cela dépend tout naturellement de la taille du chien qui devra y loger. Niveau confort, il faudra qu’elle soit suffisamment grande pour lui permettre de s’allonger comme il le souhaite. Pour une meilleure conservation de la chaleur, il faudra néanmoins qu’elle ne soit pas trop spacieuse.

Pour trouver le bon équilibre en termes de dimensions, pensez à vous servir de la surface de son tapis comme référence. En outre, le toit amovible est très pratique pour le nettoyage. Pour éviter que le froid ne pénètre directement dans la niche, il faudra par ailleurs opter pour un modèle sur pieds, avec une porte transparente si possible. N’oubliez pas, certains chiens sont sensibles au froid.

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Choisir la niche du chien : des détails qui font la différence

Personne n’y pense vraiment, mais l’emplacement joue énormément sur le confort de la niche. Il est en effet primordial qu’elle soit installée à l’abri du vent. Elle devra également pouvoir être bougée facilement. Ainsi, dès les premiers jours de l’été, il est préférable de l’orienter vers le nord. En hiver, le sud est l’orientation idéale. Par ailleurs, quel que soit le temps qu’il fait, votre toutou doit toujours avoir une gamelle d’eau près de lui.

Enfin, pour que la niche soit réellement douillette, pensez à y disposer quelques-uns de ses jouets préférés. Votre animal se sentira moins seul et sera moins réticent à y rester.

Pour plus d’infos sur les bons gestes et bonnes pratiques à suivre pour le bien-être de votre chien, n’hésitez pas à contacter les vétérinaires de Goodbro.

Sensibilité au froid du chien : selon la race, prenez vos précautions


En raison de l’aspect épais de leurs poils, nous sommes nombreux à penser que nos chiens sont résistants au froid. C’est en partie faux ! Nos amis à quatre pattes ne sont pas tous protégés face à la chute des températures. Si certaines races spécifiques s’adaptent parfaitement à ce type de contraintes, d’autres présentent au contraire, une grande sensibilité au froid.

Sensibilité au froid : de quoi dépend-elle ?

Différents facteurs peuvent expliquer qu’un chien soit plus sensible au froid qu’un autre. Parmi ces facteurs, il y a la race de votre fidèle compagnon. Plus les races sont de petites tailles, plus les chiens sont proches du sol, et plus ils sont frileux. L’épaisseur de leur pelage influence également leur sensibilité au froid. Les chiens à poils ras ou sans sous-poils subissent en effet davantage les effets du froid que les chiens avec une épaisses fourrure. Lorsque la période hivernale approche, évitez donc de tondre son pelage.

Par ailleurs, l’âge joue un rôle déterminant dans la capacité de votre chien à résister au froid. De manière générale, les chiots et les chiens âgés, y compris les chiens de traîneau, supportent moins les chutes de température que les autres. De même, un chien malade, faible ou maigre, ne doit pas être exposé au froid. Lorsqu’il s’agit de capacité à résister au froid, les habitudes de vie comptent également. Ainsi, un chien citadin, habitué à vivre en intérieur, est évidemment plus frileux qu’un chien vivant à la montagne.

Que faire pour protéger son chien des coups de froid ?

Pour éviter que votre chien n’attrape froid, notamment en hiver, quelques précautions sont à prendre. Sachant qu’en hiver, les calories dépensées sont plus importantes, si votre chien passe beaucoup de temps dehors il convient d’augmenter légèrement la ration alimentaire de votre chien pour lui donner un maximum d’énergie. En journée comme en soirée, laissez-le à l’intérieur de la maison. Son panier doit toujours être propre et sec. Si votre animal de compagnie a le poil ras, n’hésitez pas à investir dans un joli manteau pour chien. Lorsqu’il neige et qu’il pleut à la fois, les promenades sont à éviter. En outre, après chaque sortie, pensez toujours à essuyer ses pattes et à lui mettre au besoin, une couverture.

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Si vous avez d’autres questions à propos de votre chien, consultez nos autres articles de notre rubrique → Conseils vétérinaires chien.

Coryza, le rhume du chat


Très contagieux, le coryza ou rhinotrachéite virale féline (RVF) du chat est une maladie répandue. Nos amis félins peuvent facilement le contracter lorsqu’ils sont régulièrement en contact avec d’autres chats, et surtout s’ils ne sont pas immunisés par vaccination. Tour d’horizon de ce qu’il faut savoir des manifestations, de la prévention et des traitements possibles de ce rhume du chat.

Le coryza et ses manifestations

Les symptômes du coryza sont divers et variés, mais en réalité, leur manifestation dépend de l’âge et de l’état de santé du félin. Après une brève incubation de 2 à 5 jours, ce rhume du chat se manifeste par des troubles du système respiratoire. Les chats malades, surtout les chatons, toussent et éternuent également. Très souvent des écoulements nasaux et une irritation oculaire sont remarqués, accompagnés d’une fièvre et d’un état de fort épuisement. Généralement, le chat n’a plus d’appétit lorsque la maladie apparaît. Son système immunitaire est plus fragile, le rendant plus sensible à d’autres maladies.

En plus de ces symptômes, l’inflammation au niveau des yeux est susceptible de s’aggraver en conjonctivite chez des félins plus faibles ou plus âgés. Un ulcère de la cornée peut alors en découler. Des ulcères buccaux sont aussi très fréquents.

Décelé à temps, le coryza du chat est une maladie tout à fait gérable. Lorsqu’il se complique, ou lorsque la souche impliquée du coryza est virulente, l’infection peut se traduire par une pneumonie qui peut mener jusqu’à la perte de l’animal. Il est donc essentiel de lutter contre cette maladie.

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Comment prévenir et traiter le coryza ?

Les trois virus conjointement responsables de la contamination des chats par le coryza sont identifiés et portent le nom de Herpes virus, Calicivirus et Réovirus. La prévention passe par un vaccin qui va lutter contre ce rhume du chat.

La santé de votre félin préféré est ainsi assurée grâce à la vaccination : une double piqûre à un mois d’intervalle d’un sérum l’immunise contre les virus, notamment contre le Calicivirus et contre ceux responsables de la rhinotrachéite. Très important, un rappel de cette injection doit être planifié annuellement. Souvent, ce vaccin est d’ailleurs associé à un autre, qui le protège des diverses bactéries responsables des complications du coryza. Il faut néanmoins savoir que ce vaccin n’empêchera pas la contamination de l’animal, mais permettra à ce dernier de lutter efficacement contre la maladie.

À défaut du vaccin, s’il arrive qu’un chat soit contaminé, une prescription médicamenteuse lui sera indiquée selon la gravité des symptômes. Les traitements vont ainsi de l’administration par voie orale, ou par injection d’antibiotiques pour contrecarrer la surinfection de bactéries, jusqu’à un traitement plus lourd à base d’antiviraux pour les situations les plus complexes. Des soins locaux avec nettoyage des yeux et parfois même inhalation sont nécessaires pour améliorer le confort de vie l’animal le temps que l’infection passe.

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